Nathalie Loiseau, directeure de l'ENA, nous explique dans:
http://www.letudiant.fr/educpros/entretiens/nathalie-loiseau-le-piege-de-la-bonne-eleve-se-referme-sur-les-jeunes-filles.html
que les filles sont des gourdes car elles sont conformes à l'enseignement qui leur est professé, elles écoutent, elles apprennent, elles appliquent "sans ouvrir la bouche".
Bref, elles plaisent à leurs profs, elles "ne posent pas de problèmes".
C'est bien la peine: ensuite, elles ne réussissent pas professionnellement, car elles ne maîtrisent pas les codes de la communication professionnelle, ("alors que les anglo-saxons enseignent ces codes dès l'âge de 4 ans").
C'est drôle: il ne faut pas être conforme mais il faut suivre les codes!
Bon, ce qu'elle veut dire, c'est:
"il ne faut pas suivre les codes de l'école, il faut se conformer à la société."
Réveille-toi, Michel ...
Dit autrement, pour briser le plafond de verre, il suffit de crever l'écran.
Et effectivement, de nos jours, comment crever l'écran quand on ne pose pas de problème ?
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5 commentaires:
J'apprécie l'effort de féminisation des professions, mais pourquoi employer "directeure" quand directrice existe déjà ?
C'est bien le question !
ET puis "doctoresse" existe déjà, mais c'est plutôt "docteure" qui est employée, je me demande bien pourquoi.
Le terme "directeure" n'apparaissant pas (plus ?) dans l'article (la légende de la photo dit bien "directrice"), je me demandais d'où sortait cette orthographe.
Je croyais bien dire
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