Rapport du Sénat: "La pollution de l'air coûte 101,3 milliards d'euros par an"
On ne peut que ressortir ce vieux billet:
Une société qui mesure ses progrès
Au dix-millième près
Doit être bourrée de tant de thermomètres
Que l'on ne sait plus où les lui mettre
Sauf si foin de tout ridicule
On les lui fiche loin, très loin derrière
La virgule
La sénatrice Leila Aïchi, rapporteuse de cette étude du Sénat, précise en plus ce matin sur RMC que les conséquences de la pollution sur le basilic n'ont pas été prises en compte. Je ne sais pas si vous mesurez bien le scandale que cela représente.
En tout cas, j'ai été impressionné par le débit duflot de paroles de Mme Aïchi. Je trouve même que ça frise la pollution sonore. Que fait EELV contre le réchauffement sémantique ?
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