Si on ne prend en entrée des écoles que des gens qui vont être acceptés en sortie par les entreprises, on ne voit pas très bien à quoi elles ont servi entre-temps, les écoles.
C'est un peu comme si un établissement de cure d'amaigrissement ne prenait comme clients que des tailles mannequin.
En ces temps de marketing débridé dans les milieux de l'Enseignement Supérieur, ça me donne une idée de business model différenciant: créer une école payante qui n'accepte que des gens qui échouent lamentablement à une simulation d'entretien d'embauche. Vous me direz qu'il risque alors d'y avoir des fraudeurs. Mais pas si personne ne connaît la règle du jeu. Du moins pas les candidats. Par contre les parents, si, surtout !
A part ça: étonnement: la recherche Google "Business Model de l'Enseignement Supérieur" ne donne ce jour que 2 réponses.
Dont le blog intéressant de Stephan Bourcieu, directeur de l'ESC Dijon Bourgogne.
On est donc bien en présence d'un diamant sémantique, hélas en l'occurence.
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