Leurs programmes ne diffèrent que de quelques centièmes ou millièmes.
Je serais François Hollande, je prendrais Nicolas Sarkozy comme premier ministre. Le premier prendrait la hauteur à laquelle il aspire, le second courrait aux quatre coins de la planète défendre en bon avocat les causes à lui confiées. Tout le monde serait content, même François Bayrou qui verrait de loin sa chère union nationale enfin réalisée.
jeudi 3 mai 2012
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